Jean-Marc et Françoise, ou la vie conjugale...
Ainsi donc, le 8 mars est la journée de sensibilisation et de mobilisation des élèves des écoles, collèges et lycées pour les droits des femmes et l'égalité entre les filles et les garçons.
Dès lors, allons-y gaiement et apportons notre modeste pièce à l’édifice, que dis-je au piédestal sur lequel chaque élément féminin exige d’être placé, faute de quoi on hurle à la victimisation…
Dès lors, allons-y gaiement et apportons notre modeste pièce à l’édifice, que dis-je au piédestal sur lequel chaque élément féminin exige d’être placé, faute de quoi on hurle à la victimisation…
En 1964, le réalisateur André Cayatte avait réalisé un film qui m’avait donné à penser. En fait, il s’agissait de deux films parallèles, Jean-Marc ou la Vie conjugale (1er volet, avec Jacques Charrier en vedette) et Françoise ou la Vie conjugale (Marie-José Nat, l’épouse).
Cet ensemble m’avait beaucoup frappé, car c’était déjà, au premier abord, un véritable tour de force : à propos de scènes rigoureusement identiques, les deux époux, tour à tour, réagissaient de façon diamétralement opposée, les certitudes bien ancrées en chaque spectateur en prenant un sacré coup !
Plus modestement, le document (souriant) que je mets en ligne (et beaucoup plus récent, car il date de 1980) permet à tout un chacun de constater, une fois encore, que qui n’entend qu’une cloche, n’entend qu’un son. Ainsi, les sempiternelles jérémiades féminines peuvent-elles, éventuellement, être remises à leur place réelle… Mais pour autant, qu’on se le dise : je suis plutôt gynophile. Mais jusqu’à un certain point.
Cet ensemble m’avait beaucoup frappé, car c’était déjà, au premier abord, un véritable tour de force : à propos de scènes rigoureusement identiques, les deux époux, tour à tour, réagissaient de façon diamétralement opposée, les certitudes bien ancrées en chaque spectateur en prenant un sacré coup !
Plus modestement, le document (souriant) que je mets en ligne (et beaucoup plus récent, car il date de 1980) permet à tout un chacun de constater, une fois encore, que qui n’entend qu’une cloche, n’entend qu’un son. Ainsi, les sempiternelles jérémiades féminines peuvent-elles, éventuellement, être remises à leur place réelle… Mais pour autant, qu’on se le dise : je suis plutôt gynophile. Mais jusqu’à un certain point.